Archive pour mars 2012

Pour ceux qui ne l’auraient pas remarqué, la France – ou du moins son oligarchie médiatique – traverse une période d’intenses turbulences politiques. Une campagne présidentielle est en cours, paraît-il. Avec son cortège d’alliances contre nature, de sondages invérifiables, de petites phrases assassines, de promesses sans lendemain… et de slogans improbables. En 2007, l’actuel chef de l’Etat le jure : “ensemble, tout devient possible”. Et de polluer nos boîtes aux lettres avec un prospectus déclinant son programme en 15 grands axes… Cinq ans après, qu’en reste-t-il ?

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Continuons à questionner les expressions faussement positives. Lorsque l’on montre peu d’enthousiasme à accepter ce qui nous est proposé, parce que l’on attendait bien plus, on se voit souvent rétorquer : “c’est mieux que rien”. Refuser ce qui nous est avancé serait donc pire qu’une faute de goût, ou qu’une atteinte à l’honneur de notre interlocuteur : un choix contraire à la plus simple logique. Faut-il se contenter de moins que l’on espère ? Les petites évolutions sont-elles préférables aux grandes révolutions ?

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L’économie a mauvaise presse. Les représentants de la discipline sont accusés de ne jamais voir venir les crises, mais d’avoir toujours quelque chose à dire, rétrospectivement, sur les raisons du désastre. D’autant qu’ils en profitent alors pour encourager des mesures “correctives” exacerbant les problèmes. Loin d’être infondées, ces attaques contre les idiots utiles du capitalisme ne sauraient nous détourner des approches économiques les plus originales. Freakonomics explore la “face cachée” des choses.

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